Principes d’utilisation de la simulation virtuelle

Avant de choisir une simulation virtuelle comme activité d’apprentissage, assurez-vous que les objectifs d’apprentissage de celle-ci sont conformes aux résultats attendus du cours. En faisant correspondre les activités de simulation virtuelle avec les objectifs d’apprentissage, on s’assure de respecter le principe derrière l’apprentissage des adultes, qui consiste à effectuer des activités qui se révéleront pertinentes à la formation. Pour ce faire, les enseignant(e)s doivent clairement définir l’objectif de la simulation virtuelle et en reconnaître les avantages (Fogg et coll., 2014). En indiquant clairement la façon dont les objectifs d’apprentissage de la simulation virtuelle s’articulent au cours, on motive davantage l’apprenant(e) à vouloir accomplir l’activité.

Le moment choisi pour la simulation virtuelle est également essentiel en vue d’un apprentissage et d’une rétention efficaces. Les simulations virtuelles sont surtout utilisées comme moyen d’appliquer des connaissances; idéalement, les étudiant(e)s sont exposés à la nouvelle matière avant l’expérience. De plus, la simulation virtuelle peut être utilisée avant une expérience en personne pour préparer les étudiant(e)s à appliquer leurs connaissances dans une simulation en face à face. La simulation virtuelle peut enfin être utilisée pour « l’apprentissage juste à temps » ou « l’apprentissage in situ », soit tout juste avant une mise en situation clinique particulière.

Parfois, les objectifs d’apprentissage liés à une simulation ne concordent pas parfaitement avec le contenu du cours. Dans un tel cas, les apprenant(e)s devraient en être informé(e)s avant d’effectuer la simulation virtuelle pour limiter la confusion. Toujours dans le but d’éliminer la confusion, les enseignant(e)s devraient offrir aux apprenant(e)s les outils dont elles/ils ont besoin pour réussir, et leur indiquer quelles parties du programme/cours proposent du nouveau contenu.

Conseil d’experts : Préparer les étudiant(e)s

Des étudiant(e)s en soins infirmiers dans un cours d’évaluation de l’état de santé doivent faire une simulation virtuelle qui comprend une composante mineure sur l’administration de médicaments. Or, cet aspect n’a pas encore été couvert par le cours. Au moment du prébreffage, on avisera les apprenant(e)s de la situation et on leur donnera les outils nécessaires pour répondre au contenu traitant de cet aspect; sinon, on leur dira tout simplement de ne se préoccuper d’aucune question relative aux médicaments.

De simple à complexe

La simulation virtuelle devrait être utilisée régulièrement tout au long d’un programme, plutôt que de constituer une expérience unique. Il est important de commencer à l’aide de situations simples qui progressent vers des simulations plus complexes. En délimitant une séquence d’étapes claire et détaillée avant de passer à des simulations complexes et approfondies, on renforce la connaissance qu’ont les apprenant(e)s de l’expérience de simulation virtuelle, ce qui améliore l’apprentissage et maximise le temps consacré à la tâche.

Application de la théorie de surcharge cognitive

La théorie de la surcharge cognitive a des implications considérables quant à la façon dont la simulation virtuelle est utilisée. Voici quelques étapes qui permettront de réduire la surcharge cognitive dans l’utilisation de la simulation virtuelle.

  1. Choisissez une simulation virtuelle comportant une quantité raisonnable d’informations, et qui cible un domaine lié à vos objectifs d’apprentissage.
  2. Proposez d’abord aux apprenant(e)s des exercices simples de simulation virtuelle pour leur enseigner les compétences de base.
  3. Rendez la simulation virtuelle graduellement plus complexe et difficile.
  4. Enseignez les nouveaux concepts avant d’attribuer une simulation virtuelle.
  5. Veillez à ce que les apprenant(e)s aient accès à la simulation virtuelle.
  6. Offrez une orientation pour leur permettre de naviguer dans la technologie.
  7. Trouvez une personne-ressource pour le soutien technique.
  8. Encouragez la répétition de la simulation virtuelle (lorsque possible).
  9. Donnez l’option de répéter la simulation virtuelle à différents moments (lorsque possible).

Facilitation

Une facilitation compétente de la simulation virtuelle est essentielle pour l’apprentissage. La facilitation peut avoir un effet positif ou négatif sur l’expérience, autant pour l’apprenant(e) que pour l’enseignant(e). Il s’agit d’une compétence apprise et heureusement, il existe de nombreux cours et programmes de certification qui peuvent aider les enseignant(e)s à acquérir les compétences de base dont elles/ils ont besoin pour guider les apprenant(e)s de façon efficace. Une autre façon d’améliorer ses compétences consiste à profiter d’occasions de mentorat, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’établissement. Même les facilitateur(-trice)s chevronné(e)s peuvent tirer parti d’un mentorat continu ou d’activités d’enseignement en équipe.

L’objectif de la prochaine section est de cerner certaines nuances de la facilitation d’une simulation virtuelle, pour que les enseignant(e)s puissent bien planifier l’expérience de manière à appuyer l’engagement des apprenant(e)s et les aider à atteindre les objectifs d’apprentissage prévus.

Le document Healthcare Simulation Standards of Best PracticeTM  Facilitation offre aux facilitateur(-trice)s des lignes directrices et des stratégies qui les aideront à améliorer l’expérience de leurs apprenant(e)s. La première étape de l’utilisation des simulations virtuelles est d’examiner leurs objectifs et de les arrimer aux résultats d’apprentissage du cours.

La prochaine étape cible la définition des rôles des facilitateur(-trice)s pendant la simulation virtuelle. Ce rôle variera selon que la simulation virtuelle réalisée par les apprenant(e)s est offerte en mode synchrone ou asynchrone (voir Chapitre 4 : Mise en œuvre). Dans un cas comme dans l’autre, les apprenant(e)s auront besoin de directives claires sur la façon d’effectuer la simulation. Aussi, il sera plus facile pour les enseignant(e)s de répondre aux questions des apprenant(e)s si elles/ils ont une connaissance intime de l’expérience. Il est donc impératif que les facilitateur(-trice)s aient suffisamment pratiqué la simulation virtuelle pour comprendre les options et les variations possibles qui s’offriront aux apprenant(e)s. Cette compréhension mènera à une facilitation de l’expérience et à un débreffage plus efficaces.

Conseil d’experts : Attentes du/de la facilitateur(trice)

Il est important que les facilitateurs(trices) aient une connaissance intime et expérientielle de la simulation virtuelle pour qu’elles/ils comprennent ce qui est attendu de l’étudiant(e), ainsi que son expérience.

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Avant la mise en œuvre de la simulation virtuelle, il importe pour le (la) facilitateur(-trice) d’élaborer et d’assigner des activités préparatoires en plus de mener une séance de prébreffage avec les apprenant(e)s (voir Chapitre 3 : Prébreffage). Pendant la phase préparatoire, elle/il travaille à établir un environnement psychologiquement sécuritaire pour l’apprentissage et reconnaît que des erreurs surviendront nécessairement pendant la simulation virtuelle, confirmant ainsi que c’est de cette manière que l’apprentissage s’acquiert. Les facilitateur(-trice)s continueront à utiliser leurs compétences pendant les phases de mise en œuvre et de débreffage de la simulation virtuelle (voir Chapitre 4 : Mise en œuvre; Chapitre 5 : Débreffage). La phase de débreffage, en particulier, nécessite des compétences précises et il est important que les facilitateur(-trice)s soient formé(e)s pour l’animer. Comme dans le cas de la simulation en personne, un débreffage efficace enrichit l’apprentissage, amène de nouvelles idées, développe la conscience de soi et accentue le transfert des connaissances, des compétences et des attitudes. Plus précisément, la norme sur le débreffage (disponible en anglais à l’adresse https://www.nursingsimulation.org/article/S1876-1399(21)00098-0/fulltext

La simulation appliquée : Dr. Jennifer Lapum

Le balado suivant, réalisé par la professeure Jennifer Lapum, offre quelques exemples de l’intégration du jeu de simuations virtuelles.

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Cliquez ici pour télécharger une transcription du balado ci-dessous.

la professeure Jennifer Lapum

Jennifer Lapum, PhD, RN, professeure, directrice associée de l’assurance qualité, Daphne Cockwell School of Nursing, Université Ryerson

La simulation appliquée : Sufia Turner RN, MN, CCSNE

Dans la vidéo suivante, Sufia Turner, RN, MN, CCSNE de l’Université du Manitoba, présente un exemple de l’approche employée pour préparer le corps professoral à l’utilisation de la simulation virtuelle dans leur travail.

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Technologie

Il ne saurait y avoir de simulation virtuelle sans technologie. Lorsque les apprenant(e)s font face à des problèmes techniques, elles/ils participent moins et expriment un degré de satisfaction plus faible à l’égard de leur expérience d’apprentissage (Corbett et Snegrove-Clarke, 2016). Il est donc essentiel de leur offrir une expérience « sans anicroche ». Il y a certains moments, cependant, où les apprenant(e)s feront face à des problèmes techniques en dépit de la meilleure préparation possible; il est alors essentiel qu’elles/ils aient accès rapidement à un soutien technique efficace. Un tel soutien peut être offert par les concepteurs de la simulation virtuelle ou par le personnel de soutien technologique de l’établissement. D’une façon ou d’une autre, les enseignants(e)s et les apprenant(e)s doivent savoir avec qui communiquer en cas de problèmes affectant la technologie.

Être à l’aise avec la technologie et savoir naviguer dans l’environnement de simulation virtuelle est une composante importante d’une intégration efficace. Lorsque les enseignant(e)s utilisent avec assurance une technologie, on note une plus grande satisfaction à l’égard de l’expérience d’enseignement/d’apprentissage, tant pour les enseignant(e)s que pour les apprenant(e)s (Fiedler et coll., 2014).

Stratégie visant à améliorer la maîtrise de la technologie de simulation virtuelle

  • Demandez à ce que l’on vous accorde du temps pour vous familiariser avec la technologie et pour créer un plan vous permettant d’offrir l’expérience de manière efficace.
  • Familiarisez-vous avec tous les aspects de la simulation virtuelle avant que les apprenant(e)s ne l’utilisent. En « jouant » avec la simulation virtuelle, les enseignant(e)s apprennent à mieux comprendre l’expérience des apprenant(e)s.
  • Documentez les problèmes les plus communs et les façons de les résoudre, idéalement dans un manuel. Cela aidera les enseignant(e)s à conseiller les étudiant(e) et à réduire leur frustration.
  • Offrez aux apprenant(e)s une séance d’orientation pour tester l’équipement et leur permettre de se familiariser avec le processus de simulation virtuelle. Une orientation efficace réduit l’angoisse d’anticipation des étudiant(e)s quant à l’utilisation de nouveaux équipements ou logiciels. Une orientation plus exhaustive est nécessaire lorsque les apprenant(e)s utilisent la simulation virtuelle de façon individuelle, sans l’appui d’un(e) facilitateur(-trice).

Pour résumer, lorsque vous facilitez la simulation virtuelle, vous devez avoir une solide connaissance du matériel et du logiciel pour que l’expérience des apprenant(e)s soit aussi harmonieuse que possible. Vous devez ainsi être en mesure de résoudre rapidement et efficacement tout problème ayant trait à la technologie.

Caution symbol Lorsque les apprenant(e)s ont des problèmes technologiques, ils ressentent moins de satisfaction à l’égard de l’expérience, ce qui a un effet négatif sur leur apprentissage.

Pour mettre en œuvre une simulation virtuelle de manière individuelle, il faut répondre à certaines exigences informatiques précises. Au moment d’assigner une simulation virtuelle, vous devez donc informer les apprenant(e)s des exigences suivantes :

  1. Spécifications informatiques;
  2. Bande passante Internet nécessaire;
  3. Navigateur web compatible;
  4. Logiciel;
  5. Soutien technique informatique (interne ou externe);
  6. Équipements supplémentaires requis (microphone, caméra ou autres, selon les besoins).

L’information mentionnée précédemment est importante pour assurer la fluidité de l’expérience et la satisfaction de l’apprenant(e). On ne saurait trop insister sur la nécessité de voir aux exigences informatiques/technologiques avant l’expérience. Par exemple, lorsque des vidéos ou des graphiques à haute résolution sont utilisés dans une simulation virtuelle, une bande passante limitée mènera à un téléchargement lent des pages/vidéos, ce qui aura un effet négatif sur l’expérience de l’apprenant(e). De plus, il est important d’aviser les apprenant(e)s des options d’accessibilité liées au contrôle du volume et des sous-titres (sous-titres codés). Le fait d’être proactif pour s’assurer que la simulation se déroule « sans anicroche » améliorera l’expérience de l’étudiant(e).

Options de notation

Dans de nombreux contextes, les simulations virtuelles ne sont pas notées. Elles sont plutôt utilisées dans le cadre d’évaluations formatives ou du perfectionnement professionnel (Verkuyl et coll., 2020). La raison en est d’encourager l’apprenant(e) à explorer librement la simulation virtuelle et à approfondir son apprentissage sans être pénalisé(e). D’autres enseignant(e)s notent le travail en simulation virtuelle des apprenant(e)s à des fins d’évaluation sommative, avec des résultats satisfaisants. Avant de prendre des décisions relatives à la notation, vous devriez considérer les facteurs importants que sont le niveau des apprenant(e)s et les objectifs liés aux résultats d’apprentissage. Il n’y a pas de bonne ou mauvaise façon de procéder. La décision de noter ou non la simulation virtuelle sera le reflet de l’approche pédologique de l’enseignant(e) en ce qui concerne l’utilisation de la simulation virtuelle. Qu’une note soit accordée ou non, il faut en aviser les apprenant(e)s avant de débuter. Toute notation doit être accompagnée d’une grille d’évaluation ou d’un outil existant associé au cours ou aux résultats d’apprentissage. Voici quelques éléments à considérer en ce qui concerne l’évaluation sommative d’une simulation virtuelle (tableau 2.1).

Cliquez ici pour télécharger la version PDF de Tableau 2.1

Tableau 2.1 : Options de notation pour la simulation virtuelle

Approche Notation Raison d’être

Les étudiantes/étudiants peuvent jouer le jeu librement sans crainte de se voir pénaliser dans leurs notes.

Aucune note n’est accordée.

Reflète la croyance que l’apprentissage se produit lorsque des erreurs sont commises dans un environnement sécuritaire et que l’on réfléchit à ces décisions.

En accordant une note, on encourage les étudiantes/étudiants à faire la simulation virtuelle.

Les étudiantes/étudiants sont libres de choisir des réponses correctes et inexactes et de repasser par l’expérience sans crainte de se voir pénaliser dans leurs notes.

Accorder une note pour la participation.

Reflète la croyance que l’apprentissage se produit lorsque des erreurs sont commises dans un environnement sécuritaire et que l’on réfléchit à ces décisions.

Reconnaît le temps et l’effort consacrés par les étudiantes/étudiants à la simulation. Peut encourager à compléter la simulation virtuelle.

Les étudiantes/étudiants n’exploreront pas différentes options, de peur d’obtenir un pointage moins élevé. Plutôt, elles/ils prendront le temps de répondre à chaque point de prise de décision, pour avoir la meilleure chance d’obtenir la bonne réponse.

La simulation virtuelle fait l’objet d’une note.

Reflète l’objectif d’utiliser la simulation virtuelle à des fins d’évaluation sommative.

Lorsqu’on utilise la simulation virtuelle à des fins d’évaluation sommative, il est important que les étudiantes/étudiants aient préalablement eu l’occasion d’utiliser régulièrement la simulation pour se familiariser avec celle-ci. De nombreuses simulations virtuelles du commerce sont dotées d’outils d’analyse qui peuvent être utilisés pour calculer une note sommative. Lorsqu’on utilise les outils d’analyse pour la notation, il est important de comprendre les outils disponibles et la façon de les utiliser.

Conseil d’experts : Exemple de notation reflétant la participation

Une note de participation de 1 % est accordée pour chaque simulation virtuelle attribuée à des étudiant(e)s dans un cours d’évaluation de l’état de santé. La participation est confirmée lorsque les apprenant(e)s soumettent le rapport sommaire de leur expérience. Dans ce cours, 99 % des apprenant(e)s complètent la simulation virtuelle dans les délais prescrits.

Lorsqu’un score est associé à une simulation virtuelle, certain(e)s enseignant(e)s accordent une note de participation lorsque l’apprenant(e) atteint un score spécifique. L’apprenant(e) peut répéter l’expérience jusqu’à ce qu’elle/il la maîtrise.

L’activité de réflexion suivant la simulation virtuelle est associée à une grille d’évaluation et est notée. La simulation virtuelle comme telle et les décisions prises par les étudiant(e)s dans la simulation ne sont pas notées.

Conseil d’experts : Exemple de notation

Les enseignant(e)s ont exigé une note spécifique de 80 % pour une simulation virtuelle afin de calculer une note sommative. Toutefois, dans bien des cas, les apprenant(e)s auront la possibilité de répéter l’expérience aussi souvent qu’elles/ils le souhaitent afin d’atteindre les 80 %.

Caution symbol Des attentes imprécises liées à l’évaluation d’une simulation virtuelle augmenteront la confusion et l’anxiété des apprenant(e)s.

Outils d’analyse

De nombreuses simulations virtuelles recueillent automatiquement une grande quantité de données qui peuvent être utilisées autant par le(la) facilitateur(-trice) que par l’apprenant(e). Ces outils d’analyse fournissent des informations relatives aux actions ou aux décisions de l’apprenant(e). Dans bien des cas, à la fin de la simulation, les apprenant(e)s peuvent ainsi obtenir un rapport sommaire de leur expérience et les résultats peuvent être utilisés pour évaluer leurs forces et leurs faiblesses. Ce rapport peut aussi être utilisé par l’apprenant(e) comme outil pour le débreffage de son expérience. Finalement, si les enseignant(e)s consultent les données d’analyse des apprenant(e)s, elles/ils peuvent utiliser ces informations pour cerner les sujets sur lesquels il faudra mettre l’accent lors du débreffage ou en classe. Il est important pour le(la) facilitateur(-trice) de déterminer les outils d’analyse disponibles, ceux qui seront utiles, ainsi que la façon d’y accéder.

Dans la vidéo suivante, Margaret Verkuyl, NP, PHC, MN du Collège Centennial fournit des informations sur les outils analytiques d’apprentissage disponibles par l’entremise de la simulation virtuelle. Cette vidéo est en anglais. Pour le sous-titrage en français, cliquer sur l’icone de sous-titrage (CC) au bas à la droite de la vidéo.

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