Reconnaissance du territoire

Les campus de l’Université Thompson Rivers sont situés sur les terres ancestrales des Tk’emlúps te Secwépemc (campus de Kamloops) et des T’exelc (campus de Williams Lake) au sein de Secwépemc’ulucw, le territoire ancestral et non cédé des Secwépemc. Notre région s’étend également sur les territoires des peuples St’át’imc, Nlaka’pamux, Nuxalk, Tŝilhqot’in, Dakelh et Syilx.

Image de l’Université Thompson Rivers, située sur les terres ancestrales des Tk’emlúps te Secwépemc au sein de Secwépemc’ulucw, le territoire ancestral et non cédé des Secwépemc.

Les campus de l’Université Thompson Rivers sont situés sur les terres ancestrales des Tk’emlúps te Secwépemc (campus de Kamloops) et des T’exelc (campus de Williams Lake) au sein de Secwépemc’ulucw, le territoire ancestral et non cédé des Secwépemc. Notre région s’étend également sur les territoires des peuples St’át’imc, Nlaka’pamux, Nuxalk, Tŝilhqot’in, Dakelh et Syilx.

Écoutez la reconnaissance du territoire ici.

En tant qu’auteures, nous sommes profondément reconnaissantes envers les peuples Secwépemc, sur les terres desquels nous avons la possibilité de vivre, de travailler et d’apprendre. Au nom des colons et alliés, nous nous engageons à collaborer en réponse aux appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation du Canada. Nous pensons que ce travail peut contribuer de manière significative à la qualité de l’éducation afin que toute la population étudiante, en particulier les membres des communautés autochtones, et leurs connaissances soient valorisées dans chaque environnement d’apprentissage.

En utilisant le processus d’évaluation cyclique des programmes, nous aspirons à fournir un leadership et des occasions pour que les programmes et les départements prennent des mesures significatives concernant les appels à l’action suivants :

62. Nous demandons aux gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux, en consultation et en collaboration avec les survivants, les peuples autochtones et les éducateurs, de :

  1. rendre obligatoire, pour les élèves de la maternelle à la douzième année, l’établissement d’un programme adapté à l’âge des élèves portant sur les pensionnats, les traités de même que les contributions passées et contemporaines des peuples autochtones à l’histoire du Canada
  2. prévoir les fonds nécessaires pour permettre aux établissements d’enseignement postsecondaire de former les enseignants sur la façon d’intégrer les méthodes d’enseignement et les connaissances autochtones dans les salles de classe
  3. prévoir le financement nécessaire pour que les écoles autochtones utilisent les connaissances et les méthodes d’enseignement autochtones dans les salles de classe
  4. créer des postes de niveau supérieur au sein du gouvernement, à l’échelon du sous-ministre adjoint ou à un échelon plus élevé, dont les titulaires seront chargés du contenu autochtone dans le domaine de l’éducation

et

63. Nous demandons au Conseil des ministres de l’éducation (Canada) de maintenir un engagement annuel à l’égard des questions relatives à l’éducation des Autochtones, notamment en ce qui touche :

  1. l’élaboration et la mise en œuvre, pour les élèves de la maternelle à la douzième année, de curriculums et de ressources d’apprentissage sur les peuples autochtones dans l’histoire du Canada, et sur l’histoire et les séquelles des pensionnats
  2. la mise en commun de renseignements et de pratiques exemplaires en ce qui a trait aux programmes d’enseignement liés aux pensionnats et à l’histoire des Autochtones
  3. le renforcement de la compréhension interculturelle, de l’empathie et du respect mutuel
  4. l’évaluation des besoins de formation des enseignants relativement à ce qui précède

Pour en savoir plus, consultez le rapport final de la Commission de vérité et réconciliation.

Licence

Guide d’évaluation des programmes© par Alana Hoare, Catharine Dishke Hondzel et Shannon Wagner. Tous droits réservés.

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