"

Chapitre 3 : Stratégies de réussite

24 Techniques de prise de notes (Dossier d’étude)

Suzanne Anoman; Edith Diane Chakoute; Michèle Kaze Fokoua; Falone Kengne; Isabelle Ladouceur; and Fabrice Seumo Nana

Cette page contient plusieurs techniques que tes collègues ont mises de l’avant dans un précédent semestre. Parfois, ces personnes ont décidé de partager du contenu de façon anonyme, mais dans d’autres circonstances, tu remarqueras qu’elles désiraient être reconnues pour leur production. À toi de décider si ces techniques, idées, applications te conviennent ou pas. Ces exemples peuvent te servir de point de départ pour la mise en place de ton dossier d’étude, le deuxième travail noté du cours Univers postsecondaire.

La méthode Cornell (avec la collaboration de Falone Kengne, Suzanne Anoman, Michèle Kaze Fokoua et Fabrice Seumo Nana)

La méthode Cornell porte le nom de l’université (Cornell) dans laquelle elle a été développée. Elle propose de diviser la page de notes en quatre (4) sections distinctes :

  • En haut, une section pour insérer les détails pertinents au cours, la date et l’auteur.e des informations;
  • À gauche, une marge pour insérer des titres, des questions, des définitions, etc.;
  • À droite, une grande zone pour la prise de notes en tant que telle;
  •  En bas, une zone résumé.

La méthode des abréviations (avec la collaboration de Suzanne Anoman)

La méthode de prise de notes par abréviations consiste à raccourcir les mots et à utiliser des symboles pour accélérer la rédaction et faciliter la compréhension. Cette méthode est unique à chacun.e. Elle implique la suppression des mots inutiles (comme les articles ou verbes superflus) et la création d’un lexique personnel d’abréviations et de signes sans recourir au mot à mot.

La méthode de la carte mentale (mindmapping) (avec la collaboration de Michèle Kaze Fokoua, Fabrice Seumo Nana et Edith Diane Chakoute)

La carte mentale est une technique de prise de notes visuelle et hiérarchique. Elle consiste à choisir un concept central, puis à en faire émaner des branches pour les idées principales et des sous-branches pour les détails, toutes connectées et structurées. L’utilisation de mots-clés, d’images, de couleurs et de symboles permet de créer un réseau d’idées pour une meilleure mémorisation, compréhension et stimulation de la créativité.

L’exemple de Michèle Kaze Fokoua :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’exemple de Fabrice Seumo Nana :

L’exemple de Edith Diane Chakoute :