3-2 Rédiger une section sur les méthodes

Meredith Vanstone et Lawrence Grierson

 

Aperçu

Lors de la rédaction d’un article, l’une des premières sections à laquelle il faut s’attaquer est celle des méthodes. En effet, puisque cette section est souvent similaire au protocole de recherche et à la demande de subventions, elle peut constituer un excellent point de départ pour les autrices et les auteurs qui trouvent le processus de rédaction un peu intimidant.

Principaux points à retenir du chapitre

À la fin de ce chapitre, l’apprenant.e doit être en mesure de :

  • Faire ressortir les éléments clés d’une bonne section sur les méthodes pour un mémoire de recherche quantitative.
  • Faire ressortir les éléments clés d’une bonne section sur les méthodes pour un mémoire de recherche qualitative.
  • Consulter les lignes directrices pertinentes en matière de production de rapports pour les différentes formes de mémoires de recherche.

Vignette

Anuja est une étudiante en soins infirmiers qui travaille fort sur un projet d’observation d’étudiant.e.s engagés dans une activité interprofessionnelle. L’équipe comprend plusieurs membres du corps enseignant et professionnels plus expérimentés. Vous supervisez Anuja et savez donc qu’elle a fait un très bon travail pour former l’équipe et l’aider dans certaines tâches de collecte de données. Cependant, pour répondre aux critères de l’ICMJE concernant la paternité de l’œuvre, vous savez qu’Anuja devrait participer à la rédaction du manuscrit, si possible. Vous vous dites donc qu’elle pourrait travailler sur la section « Méthodes » de l’article. Vous parvenez à trouver le protocole de recherche pour ce projet et vous le lui envoyez. Dans votre courriel, vous écrivez :

De : Mon adresse courriel <you@mcmasterx.ca>

Date : Jeudi 12 décembre 2021 à 13 h 20

Objet : Protocole de recherche

À :  Singh, Anuja <singha25@mcmasterx.ca>

Bonjour Anuja,

Voici le protocole de recherche dont je t’ai parlé lors de notre dernière réunion. Je voudrais que tu rédiges la section « Méthodes » de notre article. Pourrais-tu jeter un coup d’œil au protocole de recherche et rédiger ensuite cette section dans le document Google Doc? Je te remercie!

Anuja répond :

De : Singh, Anuja <singha25@mcmasterx.ca>

Date : Jeudi 12 décembre 2021 à 13 h 20

Objet : RE : Protocole de recherche

À :  Mon adresse courriel <you@mcmasterx.ca>

 

Salut!

Merci pour le modèle, c’est très utile! Cependant, je suis un peu confuse en ce qui concerne les méthodes. Il semble que nous ayons utilisé à la fois des méthodes quantitatives et qualitatives dans le cadre de notre projet. Existe-t-il des lignes directrices ou des ressources qui pourraient m’aider à rédiger cette section? J’admets que je ne suis pas une experte, mais on dirait que les méthodes ne contiennent pas tout ce que j’ai vu dans d’autres documents que j’ai lus jusqu’à présent.

Anuja

Vous réfléchissez à la demande d’Anuja et vous vous posez la question… Y a-t-il d’autres ressources que vous pourriez utiliser pour l’aider?

Approfondir le concept

La section sur les méthodes est une partie essentielle de tout mémoire de recherche. Même si ce sont souvent les résultats d’une étude qui nous intéressent le plus, les renseignements fournis dans cette section nous permettent d’évaluer les interprétations analytiques de l’équipe de recherche et, dans certains cas, de reproduire la recherche afin de confirmer ou d’infirmer la validité des observations. Une section sur les méthodes de grande qualité permet également de convaincre ceux et celles qui financent l’étude que vous disposez d’un plan détaillé et réaliste pour atteindre vos objectifs.

Chaque section sur les méthodes doit comporter certains éléments clés. Vous trouverez ci-dessous certaines des principales rubriques que vous pourriez inclure, avec une explication du type de renseignements que l’on peut trouver dans chacune d’elles. Nous vous recommandons également de consulter les lignes directrices en matière de production de rapports correspondant au type d’étude que vous menez. Ces lignes directrices décrivent en détail les renseignements qui devraient être fournis et peuvent être utiles lors de la conception d’une étude, car elles soulignent les éléments à prendre en compte. Le réseau EQUATOR a créé une base de données contenant les lignes directrices en matière de production de rapports de recherche en santé (1), que vous pouvez consulter. De plus, les revues fournissent souvent des indications sur le type de renseignements qu’elles souhaitent voir figurer dans une section consacrée aux méthodes.

Conception de l’étude

La section sur les méthodes d’un projet de recherche qualitative ou quantitative doit commencer par une description de la conception de l’étude et de la méthodologie de recherche. Il est important de ne pas confondre les méthodes avec la méthodologie. Les méthodes sont les comportements, les techniques et les outils utilisés pour mener à bien l’étude, tandis que la méthodologie décrit l’approche systématique de la collecte et de l’évaluation des données de recherche.

À cet égard, il est essentiel de citer une méthodologie particulière et de décrire la conception de l’étude. La conception de l’étude est souvent exprimée en termes techniques (p. ex. une conception d’observation rétrospective, une conception séquentielle de méthodes mixtes [quantitative/qualitative]) tout en fournissant des détails plus précis dans la description initiale (p. ex. une observation longitudinale sur le lieu de travail avec des entretiens après certaines étapes professionnelles en particulier). Dans la recherche qualitative, les méthodologies incluent la phénoménologie, la théorie ancrée et la description qualitative, parmi beaucoup d’autres. Dans la recherche quantitative, les méthodologies sont soit descriptives, corrélationnelles, causales-comparatives, quasi-expérimentales, ou expérimentales.

Les équipes de recherche qualitative incluront souvent une déclaration sur leurs hypothèses philosophiques (p. ex. constructivistes, post-positivistes, pragmatiques) dans cette section. Lorsqu’il existe une correspondance non conventionnelle entre la méthodologie, la conception de l’étude et la philosophie, il est essentiel de justifier et d’expliquer cette concordance. Ce n’est pas quelque chose de typique dans les présentations de recherche quantitative, mais ce n’est pas une mauvaise idée d’inclure des déclarations d’hypothèses philosophiques dans ce type de travail également. Enfin, cette section permet aussi aux membres de l’équipe de recherche d’expliquer pourquoi ils ont choisi cette conception et cette méthodologie. Ces renseignements servent à démontrer que des décisions méthodologiques mûrement réfléchies ont été prises.

Participant.e.s

Pour les études impliquant des humains, la section sur les méthodes doit décrire ces participant.e.s. Elle doit définir la ou les populations que les participant.e.s représentent et indiquer le type de personnes qui pouvaient participer à l’étude.

Échantillonnage et recrutement

Les recherches impliquant des êtres humains doivent également expliquer comment l’échantillon de participant.e.s a été déterminé et donner des détails sur la manière dont ils ont été recrutés pour l’étude. Les renseignements concernant les participant.e.s comprennent le nombre de participant.e.s, leur appartenance à tout groupe pertinent et, le cas échéant, un résumé des caractéristiques personnelles pertinentes telles que le genre auquel ils s’identifient, leur âge exprimé en termes de moyenne et de fourchette, et toute autre caractéristique pertinente pour l’étude.

La section relative à l’échantillonnage et au recrutement comprendra aussi une description du type de stratégies d’échantillonnage utilisées. Parfois, plusieurs stratégies d’échantillonnage sont utilisées. Par exemple, une section sur les méthodes qualitatives pourrait décrire le passage d’un échantillonnage au hasard à un échantillonnage théorique. Il est courant de fournir des exemples des aspects intentionnels de l’échantillonnage (p. ex. par âge, désignation professionnelle, genre) et des critères d’inclusion et d’exclusion, plutôt que d’indiquer simplement que les personnes participantes ont été sélectionnées de manière intentionnelle. Cette section expliquera également comment chaque stratégie d’échantillonnage a été mise en œuvre.

Les détails concernant la détermination de la taille des échantillons peuvent être très différents selon qu’il s’agit d’études qualitatives ou quantitatives. Dans la recherche qualitative, la taille de l’échantillon dépend de la suffisance des données. Cette section décrira donc souvent la façon dont les membres de l’équipe de recherche définissent la suffisance des données (généralement en référence à leur méthodologie particulière) et la façon dont ils ont opérationnalisé la suffisance des données dans le cadre de l’étude. Dans la recherche quantitative, la taille appropriée de l’échantillon est déterminée en fonction de trois facteurs : le niveau de signification (c’est-à-dire la probabilité que l’étude rejette l’hypothèse nulle), le niveau de puissance (c’est-à-dire la probabilité que le test statistique rejette correctement l’hypothèse nulle) et la taille estimée de l’effet (c’est-à-dire l’ampleur de l’effet expérimental). Les membres de l’équipe de recherche doivent prendre des décisions concernant chacun de ces facteurs. Ils peuvent ensuite se référer à un manuel ou à une calculatrice en ligne pour déterminer la taille de l’échantillon. La section sur les méthodes doit fournir des détails sur ces facteurs et sur le système (p. ex. une calculatrice en ligne) utilisé pour effectuer le calcul.

Éthique de la recherche

C’est également dans la partie consacrée aux méthodes que l’équipe de recherche doit déclarer que le protocole a été approuvé par un comité d’éthique en recherche compétent et que les personnes qui ont choisi de participer à l’étude l’ont fait en respectant le processus de consentement éclairé. Pour en savoir sur le processus d’éthique, consultez l’Énoncé de politique des trois Conseils : Éthique de la recherche avec des êtres humains (2).

Si des problèmes éthiques ont été soulevés lors de la conception ou de la conduite de l’étude, les membres de l’équipe de recherche doivent normalement décrire ces problèmes ainsi que les mesures qui ont été prises pour réduire les risques de préjudice pour les participant.e.s. Toutefois, cette partie n’est pas incluse d’emblée dans la section sur les méthodes. Généralement, on ne l’inclut que lorsque la nature de l’étude peut soulever des questions éthiques. Par exemple, de nombreuses études sur l’enseignement des professions de la santé se déroulent sur un seul site, les enseignant.e.s jouant le rôle de membres de l’équipe de recherche, et les étudiant.e.s celui de participant.e.s à l’étude. La section consacrée à l’éthique de la recherche permet de décrire les mesures prises pour mettre en évidence les effets de ce déséquilibre de pouvoir, et les atténuer, notamment en n’autorisant pas les membres de l’équipe de recherche qui évaluent les étudiant.e.s à accéder à des renseignements susceptibles de révéler l’identité des participant.e.s, par exemple.

Collecte et analyse des données

La partie la plus évidente d’une section sur les méthodes est peut-être celle qui décrit les méthodes précises qui ont été utilisées pour collecter et analyser les données. Cette partie est généralement la plus longue, car elle met en évidence les procédures, les activités et les techniques qui ont été utilisées dans le cadre de l’étude. Bien que le nombre de mots soit souvent une préoccupation, cette section n’est jamais trop détaillée. Elle doit d’abord décrire le matériel ou les outils utilisés et la manière dont ils ont été préparés ou développés. Elle doit également indiquer l’ordre exact des évènements dans le protocole de recherche et, selon l’approche de l’étude, décrire les contrôles expérimentaux ou les procédures qui ont été mises en œuvre pour atténuer la subjectivité de l’équipe de recherche. Le cas échéant, la section consacrée aux méthodes peut aussi indiquer la durée de l’étude ou de l’implication de chaque participant.e. De plus, toutes les sections sur les méthodes doivent expliquer comment les données collectées ont été analysées pour obtenir des résultats et comment ces résultats ont été interprétés pour soutenir les objectifs de l’étude.

Pour les recherches qualitatives, il est essentiel de décrire les outils de collecte de données (p. ex. le guide d’entretien, les notes de terrain) qui ont été utilisés, et comment ils ont été élaborés, et par qui. Ces outils sont souvent inclus dans les annexes de l’article, en ligne. Lorsque les participant.e.s prennent part à différents types d’activités de recherche (p. ex. observation et entretiens), le mode de sélection de ces participant.e.s pour chaque type d’activité doit être décrit.

Lors de la collecte et de l’analyse des données, les membres de l’équipe de recherche qualitative peuvent s’appuyer sur les conventions de la méthodologie qu’ils ont établie précédemment, en expliquant brièvement que des procédures conventionnelles telles que l’itération entre la collecte et l’analyse des données, l’analyse comparative constante ou la réduction des données ont été mises en œuvre. Plutôt que de définir ces termes bien connus, il est préférable de décrire la façon dont ces techniques ont été employées dans le cadre de l’étude.

Les descriptions de l’analyse qualitative doivent aussi mentionner les techniques utilisées, indiquer si elles étaient inductives, déductives ou si elles passaient d’un mode à l’autre, et préciser qui a réalisé chaque technique et quel a été le rôle des autres membres de l’équipe de recherche. Souvent, le codage est mis en œuvre par un petit groupe de chercheuses et de chercheurs, l’ensemble de l’équipe apportant des commentaires et des idées sous différentes formes. Il est essentiel de décrire les nuances de ce travail analytique.

Pour les recherches quantitatives, celles qui impliquent la collecte et la manipulation de données numériques, certaines caractéristiques doivent être prises en compte dans la section consacrée aux méthodes.

En effet, cette section doit décrire les processus de collecte des données. L’équipe de recherche doit expliquer la nature des données collectées, la manière dont les mesures ont été effectuées et si elles ont été transformées avant d’être analysées. Il pourrait s’agir ici de préciser si les données sont continues, ordinales, nominales ou catégorielles, de décrire les outils utilisés ou les bases de données consultées pour extraire les données, et d’indiquer si les données sont exprimées en moyenne, en total, en pourcentage ou sous forme brute pour étayer les comparaisons effectuées.

Les tests statistiques menés pour analyser les données doivent également être mentionnés. La description de ces tests statistiques est souvent organisée en fonction des différentes hypothèses de l’équipe de recherche et garantit que les analyses ultérieures et les corrections mathématiques sont décrites parallèlement à toutes les analyses primaires. Essentiellement, toute analyse effectuée pour étayer des interprétations doit figurer dans une section consacrée à l’analyse des données.

Réflexivité

Dans les projets de recherche qualitative, il est d’usage d’inclure un énoncé sur les perspectives de l’équipe de recherche en rapport avec le projet de recherche. Ce type d’énoncé variera en fonction du sujet de l’étude et de la relation entre les membres de l’équipe de recherche et le sujet ou les participant.e.s. Il n’existe pas d’indications précises sur ce qu’il convient d’inclure ou de ne pas inclure dans un énoncé de réflexivité, mais il comprend souvent une description des rôles professionnels, des identités sociales, ou des expériences personnelles ou académiques de l’équipe de recherche en rapport avec le projet. Par exemple, la Dre Vanstone mentionne souvent qu’elle a des enfants dans ses études sur la grossesse et la parentalité, mais cette information n’est (généralement) pas pertinente pour ses recherches sur l’enseignement de la médecine et ne serait donc pas incluse dans la section sur la réflexivité. Parfois, les identités réflexives sont attribuées à des membres de l’équipe de recherche de façon individuelle, et parfois la composition de l’équipe est décrite de manière globale, comme dans l’exemple suivant, tiré d’une étude sur les expériences d’admission des aspirants médecins issus de milieux défavorisés :

« Notre équipe représente un éventail d’identités pertinentes pour la recherche. Si nous nous considérons toutes comme des femmes, nous représentons plusieurs groupes sous-représentés en médecine, notamment les personnes à faible revenu. Plusieurs d’entre nous ont aspiré à devenir médecins et avons connu des dénouements différents. Notre équipe était composée d’une étudiante de premier cycle (RB), d’une étudiante en médecine (RK) et d’une médecin formatrice (MM). Deux d’entre nous ont participé à l’élaboration et à la mise en œuvre de la politique d’admission au doctorat en médecine (MV, MM) ». (Citation de De Freitas et al, 2021, Medical Education) (3).

Parfois, les énoncés de réflexivité décrivent également la façon dont les membres de l’équipe de recherche ont travaillé pour faire preuve de réflexivité, par exemple en enregistrant et en partageant leurs idées réflexives et en s’efforçant d’être transparents sur la manière dont leur positionnement a influencé leur travail d’analyse.

Autres points importants

Il arrive de plus en plus souvent que les études fournissent des renseignements sur le dépôt et l’accessibilité des ensembles de données qui ont été utilisés pour obtenir les résultats de la recherche. Le processus consistant à indiquer où et comment un membre d’une autre équipe de recherche peut accéder à vos données permet de favoriser la reproduction et la transparence des rapports de recherche. Il convient de noter que ce ne sont pas toutes les données quantitatives qui devraient être accessibles. Les chercheuses et les chercheurs doivent être attentifs au dépôt de données sensibles qui pourraient être liées à l’autonomie des participant.e.s, ou qui pourraient l’entraver.

De plus en plus souvent, les patient.e.s participent aux recherches sur la santé. Si votre projet inclut un.e patient.e ou un membre de l’équipe soignante, vos méthodes de participation doivent être décrites dans la section sur les méthodes. Les lignes directrices GRIPP2 en matière de production de rapports fournissent des conseils sur la manière de décrire ce type de participation (4).

Principaux points à retenir

  • La section sur les méthodes doit contenir tous les renseignements qui seraient nécessaires pour reproduire votre recherche. Cela signifie qu’il faut veiller à ce que cette section soit complète et détaillée. Cela signifie également que votre rédaction scientifique doit être claire et convaincante.
  • La section sur les méthodes n’est pas l’endroit où l’on peut faire de la rhétorique; c’est l’endroit où l’on décrit précisément ce que l’on a fait et où l’on explique pourquoi on l’a fait de cette façon.
  • Vous pouvez utiliser les lignes directrices en matière de production de rapports afin d’étayer vos textes. Chaque section sur les méthodes doit comporter des éléments clés, et ces lignes directrices peuvent vous aider à les reconnaître. Consultez la base de données sur le site Web du réseau EQUATOR(https://www.equator-network.org/) pour vous aider.

Conclusion de la vignette

Après avoir découvert le chapitre sur la REPS intitulé « Rédiger une section sur les méthodes », vous envoyez cette ressource à Anuja et lui proposez de vous revoir la semaine prochaine. D’ici là, vous pensez qu’elle pourra rédiger une bonne première version de cette section.

Références

  1. Le réseau EQUATOR. Dernière consultation le 16 janvier 2022. Disponible à l’adresse suivante : https://www.equator-network.org/
  2. Énoncé de politique des trois Conseils. Dernière consultation le 16 janvier 2022. Disponible à l’adresse suivante : http://tcps2core.ca/welcome?lang=fr
  3. De Freitas C, Buckley R, Klimo R, Daniel JM, Mountjoy M, Vanstone M. Admissions experiences of aspiring physicians from low‐income backgrounds. Medical Education. 2021; 55(7);840-849. doi: https://doi-org./10.1111/medu.14462
  4. Staniszewska S, Brett J, Simera I, Seers K, Mockford C, Goodlad S, Altman DG, Moher D, Barber R, Denegri S, Entwistle A. GRIPP2 reporting checklists: tools to improve reporting of patient and public involvement in research. BMJ. 2 août 2017;358. Disponible à l’adresse suivante : https://www.bmj.com/content/358/bmj.j3453

À propos de l’auteur et de l’autrice

Meredith Vanstone est professeure agrégée au Département de médecine familiale de l’Université McMaster.
Lawrence Grierson est professeur agrégé au Département de médecine familiale de l’Université McMaster, et doyen adjoint du programme d’études supérieures en sciences de la santé. Il est également scientifique au sein du programme MERIT (McMaster Education Research, Innovation & Theory) de la Faculté des sciences de la santé de l’Université McMaster.

 

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